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Ici 0n peut app0rter ses baisers.
27 juillet 2008

_ Nos objets et Pimprenelle _

- On -

Chamboulée, [pré]occupée, stressée, pressée, cernes et larsens, Excusez-moi vous n’auriez pas vu cette petite chose que l’on appelle « le temps de vivre » par hasard ?, non tant pis au revoir et merci quand même.

- Off -

Une barquette de fraises à 7€50, non mais où va-t-on ma bonne dame, je vous le demande. Alors on choisit le Paris-Jazz Festival et ses pinces à linge qui, au-dessus des fleurs et des pelouses, retiennent quelques dessins ou mots de passage, griffonnés par qui veut. La nuit venue, on s’allonge en plein champ, et c’est pas grave si l’herbe est mouillée, parce qu’on a des bonbons et un sac d’étoiles filantes rien que pour nous. You are a true honeymoon child et tout ça, moi qui chante à tue-tête par la fenêtre, festival des zygomatiques, et l’hystérie totale lorsque vient le temps de hurler « poulpe », « bouilloire » ou « catalytique ». Allez comprendre. C’est ça aussi, l’été. Un livre tous les deux jours, quelques soirées arrosées, le clapotis de nos vies suspendues. Et surtout, un fou rire infondé, serrés à deux sur un canapé, en écoutant Ella Fitzgerald. C’est ça aussi, l’amour.

[Un air de vieille ruelle]
Dans une rue c'est l'histoire habituelle / d'un gars, de son mégot / et du souvenir d'une belle /
qui lui colle à la peau / on va s'arrêter là / ... / la fin, on la connaît déjà.

((Les Ogres de Barback))

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Commentaires
J
quand écriras-tu à nouveau ici ?
M
Ah l'été. Et les inquitudes qui ne veulent pas nous lâcher.
M
Tu respires la joie de vivre, ça fait du bien...
Ici 0n peut app0rter ses baisers.
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